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Sur une planète ravagée par la guerre ...
Les combats avaient détruits toutes traces de bâtiments, de prestiges d'antan, le sol était devenu rouge de sang, la faune et la flore avaient disparues, le paysage était couvert de cadavres, une puanteur immonde y régnait, une légère brume planait au dessus de ce gigantesque no-mans land,d’une couleur brune, certainement du au gaz rejeté par toutes ses machines de guerre qui s’étaient affrontées. ... Cette planète n'était que désolation il n'y restait que très peu de trace de vie après l'anéantissement des Terrans. Les Protoss avaient décimés toutes résistances, ils avaient entièrement exterminés cette race de la planète, mis a part quelques survivants qui avaient pu leur échapper et qui se sont réfugiés pendant la guerre, ils éraient maintenant depuis des années dans des montagnes à lutter contre la faim et le froid … Parmis ses Terrans qui luttaient contre la mort il y avait Calim et Bjmozart, leur visage amaigrit par la faim, les doigts viraient au bleu a cause du froid, leurs vêtements tombaient en lambeau tellement ils étaient usés, leur yeux étaient devenus d’un blanc profond terni par la souffrance depuis leur exil… Ils devaient se déplacer tous les jours pour ne pas être suivis par les dernières patrouilles de Protoss qui voulaient mener à termes leur extermination.
Un jour, pendant leur misérable vie les deux compères tombèrent dans une embuscade, ils ne s'y opposèrent pas et restèrent de marbre entourés de ses Protoss qui les regardaient d’un œil curieux comme s’ils n’en avaient encore jamais vu, ils avaient l’air de communiquer entre eux. Les deux amis se jetèrent de brefs coups d’œils, inquiets de ce qui pourrait leur arriver.La mort serai presque un soulagement tant ils avaient faim, soif et ils étaient surtout congelés par un froid mordant les glaçant jusqu’aux os. Puis un des Protoss s’avança vers eux, il leva sa main et commença à prononcer quelques formules incompréhensibles pour de simple terrans. Les deux compères baisèrent la tête certains que se sont les dernières secondes qu’ils auront à souffrir sur cette misérable planète. Un résidu de particules semblait sortir de la main du protoss, ils sentirent alors une vague d'énergie importante émanant du Protoss.Un bref instant plus tard, tout était devenu noir, ils voyaient au loin un tunnel d’un blanc éclatant entourer d’un noir si intense qu’ils ne pourraient voir leurs mains. Ils se dirigèrent vers ce tunnel malgré eux, ils avaient l’impression d’être en apesanteur et que ce tunnel les attirait vers lui … Arriver à quelques pas du tunnel ils reprirent consciences, ils ne se trouvaient plus dans cette forêt bordant la montagne mais dans un bâtiment vide, entièrement blanc ou l’on avait l’impression que la lumière venait de chaque centimètre carré, il n’y avait aucunes limites spatio-temporel …
Ils étaient pourtant couchés sur quelque chose de dur, étant parfaitement immobilisés, ils ne pouvaient tourner la tête d’un coter ou de l’autre. Ils ignoraient s’ils étaient encore vivants, ils sentaient pourtant leurs cœurs battrent … Ne serait-ce qu’un rêve ? Alors une voix leur entra dans la tête, ce n’était pas un langage normal, en tout cas pas celui qu’ils parlaient avant que tout cela arrive. Néanmoins elle avait l’air compréhensible, c’était un langage criblé de code, un mélange de chiffres et de lettres. Ils sentaient en eux quelque chose de nouveau, une intelligence bien plus développée, une force nouvelle, des sens différents et ils sentaient que leur forme physique avait également changé. Mais qu’étaient ils devenus … ou redevenus … ?
Les combats avaient détruits toutes traces de bâtiments, de prestiges d'antan, le sol était devenu rouge de sang, la faune et la flore avaient disparues, le paysage était couvert de cadavres, une puanteur immonde y régnait, une légère brume planait au dessus de ce gigantesque no-mans land,d’une couleur brune, certainement du au gaz rejeté par toutes ses machines de guerre qui s’étaient affrontées. ... Cette planète n'était que désolation il n'y restait que très peu de trace de vie après l'anéantissement des Terrans. Les Protoss avaient décimés toutes résistances, ils avaient entièrement exterminés cette race de la planète, mis a part quelques survivants qui avaient pu leur échapper et qui se sont réfugiés pendant la guerre, ils éraient maintenant depuis des années dans des montagnes à lutter contre la faim et le froid … Parmis ses Terrans qui luttaient contre la mort il y avait Calim et Bjmozart, leur visage amaigrit par la faim, les doigts viraient au bleu a cause du froid, leurs vêtements tombaient en lambeau tellement ils étaient usés, leur yeux étaient devenus d’un blanc profond terni par la souffrance depuis leur exil… Ils devaient se déplacer tous les jours pour ne pas être suivis par les dernières patrouilles de Protoss qui voulaient mener à termes leur extermination.
Un jour, pendant leur misérable vie les deux compères tombèrent dans une embuscade, ils ne s'y opposèrent pas et restèrent de marbre entourés de ses Protoss qui les regardaient d’un œil curieux comme s’ils n’en avaient encore jamais vu, ils avaient l’air de communiquer entre eux. Les deux amis se jetèrent de brefs coups d’œils, inquiets de ce qui pourrait leur arriver.La mort serai presque un soulagement tant ils avaient faim, soif et ils étaient surtout congelés par un froid mordant les glaçant jusqu’aux os. Puis un des Protoss s’avança vers eux, il leva sa main et commença à prononcer quelques formules incompréhensibles pour de simple terrans. Les deux compères baisèrent la tête certains que se sont les dernières secondes qu’ils auront à souffrir sur cette misérable planète. Un résidu de particules semblait sortir de la main du protoss, ils sentirent alors une vague d'énergie importante émanant du Protoss.Un bref instant plus tard, tout était devenu noir, ils voyaient au loin un tunnel d’un blanc éclatant entourer d’un noir si intense qu’ils ne pourraient voir leurs mains. Ils se dirigèrent vers ce tunnel malgré eux, ils avaient l’impression d’être en apesanteur et que ce tunnel les attirait vers lui … Arriver à quelques pas du tunnel ils reprirent consciences, ils ne se trouvaient plus dans cette forêt bordant la montagne mais dans un bâtiment vide, entièrement blanc ou l’on avait l’impression que la lumière venait de chaque centimètre carré, il n’y avait aucunes limites spatio-temporel …
Ils étaient pourtant couchés sur quelque chose de dur, étant parfaitement immobilisés, ils ne pouvaient tourner la tête d’un coter ou de l’autre. Ils ignoraient s’ils étaient encore vivants, ils sentaient pourtant leurs cœurs battrent … Ne serait-ce qu’un rêve ? Alors une voix leur entra dans la tête, ce n’était pas un langage normal, en tout cas pas celui qu’ils parlaient avant que tout cela arrive. Néanmoins elle avait l’air compréhensible, c’était un langage criblé de code, un mélange de chiffres et de lettres. Ils sentaient en eux quelque chose de nouveau, une intelligence bien plus développée, une force nouvelle, des sens différents et ils sentaient que leur forme physique avait également changé. Mais qu’étaient ils devenus … ou redevenus … ?